Plus de huit travailleurs sur dix souhaitent que leur travail soit en adéquation avec l'enjeu climatique
Laurent Missoffe [] 12 avril 2023
Plus de huit travailleurs sur dix souhaitent que leur travail soit en adéquation avec l'enjeu climatique, selon une étude menée par Elabe et publiée mardi par l'Unédic. De plus, 7 employés sur 10 pensent que l'engagement de leur employeur pour la préservation de l'environnement les convaincra d'y travailler à long terme.
Malgré le fait que 25% des actifs ne savent pas si leur emploi actuel a un impact sur l'environnement, plus de huit sur dix souhaitent que leur travail soit en adéquation avec l'enjeu climatique, selon une étude publiée mardi par l'Unédic. Selon l'enquête Elabe, 85% des actifs expriment une inquiétude voire une anxiété face à l'état de l'environnement.
84% d'entre eux souhaitent que leur travail soit en phase avec le défi climatique ; 38 % veulent qu'il protège positivement l'environnement et 46 % veulent qu'il n'ait pas d'effets négatifs. Cependant, seuls 20% d'entre eux estiment que leur travail actuel contribue à la transition écologique, 39% estiment qu'il n'a pas d'effets négatifs, et 25% se disent incertains, les 16% restants en déduisant un effet négatif.
La préservation de l'environnement est une préoccupation pour l'entreprise.
Autre statistique révélatrice, selon 54 % des personnes interrogées, le niveau de compétence des travailleurs est insuffisant pour relever les défis posés par l'environnement. Afin d'aligner leur vie professionnelle sur leurs préoccupations environnementales, un quart des actifs (26%) envisagent (ou ont déjà pris la décision de) changer de métier, d'entreprise ou d'industrie. De plus, 7 travailleurs sur 10 pensent que l'engagement de leur entreprise pour la protection de l'environnement les convaincrait d'y travailler à long terme.
Lorsqu'on leur demande d'énumérer les effets du changement climatique sur leur vie professionnelle, les actifs donnent la priorité à la dégradation des conditions de travail suite à des phénomènes météorologiques extrêmes ou à des catastrophes naturelles (16%) à la hausse des prix du carburant. l'énergie, les matières premières et les transports (9 %) ainsi que les difficultés économiques des entreprises (6 %).
La première section d'une enquête sur le « travail en transition » porte sur l'organisme paritaire qui chapeaute le programme d'assurance-chômage. Selon Patricia Ferrand (CFDT), présidente de l'organisme, "L'Unédic doit s'intéresser à toutes les transitions dans le cadre de son rôle de protection des parcours professionnels au plus près des réalités de l'emploi."
Malgré le fait que 25% des actifs ne savent pas si leur emploi actuel a un impact sur l'environnement, plus de huit sur dix souhaitent que leur travail soit en adéquation avec l'enjeu climatique, selon une étude publiée mardi par l'Unédic. Selon l'enquête Elabe, 85% des actifs expriment une inquiétude voire une anxiété face à l'état de l'environnement.
84% d'entre eux souhaitent que leur travail soit en phase avec le défi climatique ; 38 % veulent qu'il protège positivement l'environnement et 46 % veulent qu'il n'ait pas d'effets négatifs. Cependant, seuls 20% d'entre eux estiment que leur travail actuel contribue à la transition écologique, 39% estiment qu'il n'a pas d'effets négatifs, et 25% se disent incertains, les 16% restants en déduisant un effet négatif.
La préservation de l'environnement est une préoccupation pour l'entreprise.
Autre statistique révélatrice, selon 54 % des personnes interrogées, le niveau de compétence des travailleurs est insuffisant pour relever les défis posés par l'environnement. Afin d'aligner leur vie professionnelle sur leurs préoccupations environnementales, un quart des actifs (26%) envisagent (ou ont déjà pris la décision de) changer de métier, d'entreprise ou d'industrie. De plus, 7 travailleurs sur 10 pensent que l'engagement de leur entreprise pour la protection de l'environnement les convaincrait d'y travailler à long terme.
Lorsqu'on leur demande d'énumérer les effets du changement climatique sur leur vie professionnelle, les actifs donnent la priorité à la dégradation des conditions de travail suite à des phénomènes météorologiques extrêmes ou à des catastrophes naturelles (16%) à la hausse des prix du carburant. l'énergie, les matières premières et les transports (9 %) ainsi que les difficultés économiques des entreprises (6 %).
La première section d'une enquête sur le « travail en transition » porte sur l'organisme paritaire qui chapeaute le programme d'assurance-chômage. Selon Patricia Ferrand (CFDT), présidente de l'organisme, "L'Unédic doit s'intéresser à toutes les transitions dans le cadre de son rôle de protection des parcours professionnels au plus près des réalités de l'emploi."